Cause you're amazing. Just the way you are. And when you smile. The whole world stops and stares for a while.

notextinctenough @tumblr ✤ bruno mars ~ just the way you are.« Rhys Knight ? » Le jeune homme à la crinière indomptable, et à l’air débraillé comme s’il venait de sortir du lit, quitta son livre des yeux pour déposer son regard bleu de glace sur moi. Il sembla me décrypter de la tête au pied durant mon silence. On n’avait pas l’habitude de voir des personnages aussi… Haut en couleur ? Excentrique ? Enfin aussi accès à l’exposition vestimentaire aussi extrême. Avec ma queue de cheval bien serré et nette, ma petite robe zébrée et mon foulard, je faisais presque bonne sœur à côté de son côté rebelle. Moi, Cersei Endersby, j’en aurais presque perdu toute mon assurance devant son aura froide et hostile. Je déglutie longuement et inspira profondément avant de me ressaisir. « Je suis la déléguée des élèves. J’aurais dû t’accueillir ce matin, mais tu n’es pas venu alors peut être t’es-tu… » « Je n’avais nul besoin d’aide. Et je n’en ai toujours pas besoin. J’ai déjà fait le tour du propriétaire il y a trois jours, et je sais parfaitement me servir d’un plan. Alors merci… » Il s’était relevé et me dominait d’une bonne tête. Imposant, en plus de cette aura de dominateur, voilà qui n’arrangeait pas mon assurance à filer à l’anglaise dans un trou à rat. Il me fixait avec ce rictus qui transcrivait presque de l’amusement à me voir faiblir sur mes louboutins. Il haussa un sourcil comme à l’attente de quelque chose. Et ce quelque chose m’échappa comme un couinement de souris. « Cersei… Cersei Endersby… » « Cersei ? » Mon prénom entre ses lèvres me fit frémir, sans que je ne sache pourquoi. Il s’était penché vers moi comme pour mieux soutenir mon regard qui tentait de fuir. Il semblait à la fois pensif, et rêveur. « Modernisation du prénom Circé ? Sorcière de l’antiquité, du moins dans la mythologie grecque ? » « Magicienne, le corrigeai-je dans un élan soudain d’assurance. » « C’est du pareil au même elle transformait tous ceux qu’elle voulait en animal. Ou bien ton prénom a été inspiré par l’œuvre de George R. R. Martin, prénom que la reine incestueuse porte. Dans les deux cas il est peu flatteur. » « Et qu’est-ce que ça peut te faire ? Tu lis l’avenir peut être ? Je suis sûre que mon frère Wayde sera ravi que tu lui touches deux mots de notre futur inceste, ou bien que les garçons du lycée eux seraient heureux d’apprendre que je suis une réincarnation d’une magicienne de l’ancien temps, prête à les changer en hamsters. » Il se releva en passant une main dans ses cheveux indomptable, en riant légèrement. « Tu as du mordant… Je n’en attendais pas moins d’un prénom si fort en origines. Ces deux noms ont marqué chacun à leur manière l’histoire que ce soit la mythologie, ou l’histoire littéraire… » Ce même rictus d’amusement se fit plus franc sur ses lèvres, tandis que son regard sembla avoir pris feu sous noter petite joute verbale. Il attrapa son sac et me tourna le dos. « C’est tout ? » Cela m’avait échappé, comme si je m’attendais à plus, mais quelle idiote ! Il se retourna avec cet air joueur que je connais à très peur de personne. « Ne t’inquiète pas petite magicienne, je suis persuadé qu’on se rencontrera de nouveau. » Il me fit un signe de la main et emporta son plateau et sa petite personne à l’autre bout de la cafétéria avant de sortir. Etrange personne qu’était Rhys Knight. Etrange et intrigante personne.
« Joli coup de crayon. » Penchée au-dessus de son épaule j’observai depuis quelques minutes cette caresse de son crayon sur le papier laissant une fine trace à chaque fois. « Indiscrète personne. » J’haussai brièvement les épaules avant de prendre place à côté de lui, sur les marches de l’amphi théâtre extérieur. « Tu dessines depuis longtemps ? » « Indiscrète et bornée petite personne… » Je souriais, voilà déjà près de quatre mois que je connaissais Rhys, et il était toujours un mystère cachée sous des carapaces blindées. Je soufflai doucement sur mes doigts déjà gantées, l’hiver n’était en générale pas bien violent en caroline du sud, mais cette année on frôlait bien les dessous des 10°C. Je n’aimais pas le froid, et j’aimais encore moins la brume qui s’échappait de mes lèvres tandis que je continuais à souffler sur mes doigts endoloris par le froid. « On aime pas le froid mademoiselle Endersby ? » Je relevai le regard vers mon ami qui déposa sa veste de cuir sur mes épaules, pour se retrouver en t-shirt. « Tu as pas froid ? » « Je viens de Londres, miss je congèle alors qu’il fait douze degrés. Le froid pour moi c’est quand il verglace ou bien qu’il neige. Et encore, dans l’est de la France le froid est plus mordant. » J’écarquillai les yeux comme impressionnée quelque part, par son petit tour d’Europe. « Tu es allée en France ? » « Et toi ? » Je n’aimais pas spécialement qui me réponde constamment par une question qui revenait toujours à parler de moi, mais je me laissai toujours prendre au jeu. « Quand été et c’était le sud de la France, dans la maison de campagne de mes grands-parents. » « Le sud est infecte en été, trop de chaleur. L’est est supportable et très beau, surtout en hiver. La Suisse aussi est très belle. » « Et est un lieu parfait pour le ski, ajoutai-je bêtement. » Ma remarque le fit rouler des yeux, et il se replongea dans son dessin. C’était vraiment plus fort que moi que de sortir des réflexions de gosses de riche. Je resserrai les pans de la veste contre moi et observai son coup de crayon. Peu à peu l’image prit les airs d’un ange magnifique. Même couché sur le papier, j’avais presque l’impression qu’il allait battre de ses ailes blanche et s’envolait devant moi. Plus je l’observai plus je me rapprochai du jeune homme qui s’était arrêté de dessiner et m’observait silencieusement. « Il te plait ? » Sa voix me fit tressaillir et je manquai, bêtement, de me retrouver une marche plus basse. Je détournai le visage loin de son regard perçant comme celui d’un aigle. Avions-nous été aussi proches que je crus le voir ? Comme pour m’occuper, je me relevai et époussetai mes vêtements, mais comme à mon habitude depuis quelques temps, je n’avais pas remarqué qu’il s’était lui aussi lever. Ce ne fut que quand j’eus relevé la tête que je me retrouvai nez à nez, au sens figuré, comme au sens propre avec Rhys et ce rictus mi amusé, mi je ne sais quoi. J’allais pour me reculer mais il passa une main mais dans le creux de mes reins afin de me coller à lui. Ses yeux pétillaient d’une étrange lueur, celle-ci m’intrigua et m’attira un peu plus à lui. « Tu es intrigante, et irritante à la fois Cersei… » Alors que je croyais qu’il allait m’embrasser, comme une idiot, il me mit dans la main un morceau de papier rugueux dans la main et se détourna de moi pour filer encore à l’anglaise. Un peu hébétée je le regardai s’éloigner ainsi, alors qu’on m’arracha des mains le papier des mains. « Hum joli… Un cadeau ? » Je me tournai vers la jolie rouquine qui était postée à côté de moi et qui observait le papier avec intérêt. Je le lui repris et l’observai à mon tour. C’était son dessin, mais avec une chose en plus. Une phrase. « Nondum amabam, et amare amabam ». Je dû chercher loin dans mes souvenirs de mes anciens cours de latin pour traduire. Cela devrait donner quelque chose comme « Je n'aimais pas encore, mais je brûlais d'aimer. ». Je fronçai les sourcils en tentant de comprendre ce qu’il avait tenté de dire par cela, c’est alors que je remarquai quelque chose qui ne m’avait pas frappé au premier abord. « Il est plutôt assez réaliste ce portrait. » Iseult avait mis le doigt dessus, j’avais cru que l’ange était un homme, n’était préoccuper que par la vraisemblance de ses ailes mais c’était une ange. Sa chevelure tournoyait autour de son visage, ses ailes l’enveloppaient comme pour l’habiller de leurs plumes, mais son visage, ses traits… c’était moi. Les yeux clos, l’air endormi, les boucles Aubrun tombant négligemment devant mon visage. « Tu as un admirateur… » « Je… » J’en perdais mes mots. Etre dessinée était une chose, mais sous la forme d’un ange était bien quelque chose de perturbant, et d’étrangement flatteur. « Cersei tu viens on va être en retard ! » Mon amie me prit par le bras et dû me tirer jusqu’à la salle où durant toute l’heure qui suivit, mon regard ne quitta pas le dos de Rhys, comme hypnotisé par cette beauté rebelle et négligée.

You ain't never had a friend, never had a friend.You ain't never had a friend like me.

unknow @tumblr ✤ aladin (disney) ~ friend like me.Dans cette partie, racontez nous votre histoire, que ce soit sous forme d'anecdotes, de rps, de journal intime ou même tout simplement de la naissance jusqu'ici ! Nous imposons un maximum de vingt lignes, pour en savoir un maximum sur votre personnage et pour, ainsi, pouvoir le différencier des autres.

And I would have stayed up with you all night. Had I known how to save a life

rpgifhunters @tumblr ✤ the fray ~ how to save a live.Dans cette partie, racontez nous votre histoire, que ce soit sous forme d'anecdotes, de rps, de journal intime ou même tout simplement de la naissance jusqu'ici ! Nous imposons un maximum de vingt lignes, pour en savoir un maximum sur votre personnage et pour, ainsi, pouvoir le différencier des autres.